Effectivement, la France ne doit plus se conforter en colonisateur en Afrique comme le fut jadis.
Quand Mezouar taclait Le Drian
(…).
Des propos que Salaheddine Mezouar, l’ancien chef de la diplomatie marocaine, avait jugés «infondés et irresponsables» deux semaines plus tard dans une interview accordée à la même publication, assénant que «le temps de la tutelle est révolu».
Ya...bi
GO HOME FRANCE!
- En dépit du sacrifice de ses soldats et des milliards engloutis dans la lutte contre le terrorisme islamiste, le pays d’Emmanuel Macron est de plus en plus critiqué par une partie de l’opinion. À qui la faute ?
" À bas la France ! », « Barkhane dégage ! », « Stop au génocide français au Mali ! »… Ce 15 novembre, place de l’Indépendance, à Bamako, les slogans sont virulents, parfois outranciers. Officiellement organisée pour soutenir les Forces armées maliennes (Fama) attaquées de toutes parts dans le nord et dans le centre du pays, la manifestation de quelques milliers de personnes a, comme celle de la semaine précédente, tourné à la démonstration antifrançaise.
En quelques mois, à mesure que la situation sécuritaire se dégradait, une vague de ressentiment antifrançais diffus – et parfois confus – a gagné le Sahel. C’est surtout vrai au Mali et au Burkina Faso, où des dizaines de militaires et de civils sont tués chaque mois et où des régions entières échappent désormais à l’autorité de l’État. Ces rancœurs à l’encontre de l’ex-puissance coloniale ne sont certes pas nouvelles.-
Jeune Afrique- extraits-.
Quand Mezouar taclait Le Drian
(…).
Des propos que Salaheddine Mezouar, l’ancien chef de la diplomatie marocaine, avait jugés «infondés et irresponsables» deux semaines plus tard dans une interview accordée à la même publication, assénant que «le temps de la tutelle est révolu».
Ya...bi
GO HOME FRANCE!
- En dépit du sacrifice de ses soldats et des milliards engloutis dans la lutte contre le terrorisme islamiste, le pays d’Emmanuel Macron est de plus en plus critiqué par une partie de l’opinion. À qui la faute ?
" À bas la France ! », « Barkhane dégage ! », « Stop au génocide français au Mali ! »… Ce 15 novembre, place de l’Indépendance, à Bamako, les slogans sont virulents, parfois outranciers. Officiellement organisée pour soutenir les Forces armées maliennes (Fama) attaquées de toutes parts dans le nord et dans le centre du pays, la manifestation de quelques milliers de personnes a, comme celle de la semaine précédente, tourné à la démonstration antifrançaise.
En quelques mois, à mesure que la situation sécuritaire se dégradait, une vague de ressentiment antifrançais diffus – et parfois confus – a gagné le Sahel. C’est surtout vrai au Mali et au Burkina Faso, où des dizaines de militaires et de civils sont tués chaque mois et où des régions entières échappent désormais à l’autorité de l’État. Ces rancœurs à l’encontre de l’ex-puissance coloniale ne sont certes pas nouvelles.-
Jeune Afrique- extraits-.
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